“I have a comfortable bed and accompaniment that I’ve come back with a very high level of profundity”

Victime d’une fausse couche il ya 1 an et demi, Emy nous raconte la douleur physique et psychologique qu’elle a subie ainsi que les traumatismes qui ont suivi.

Il ya plusieurs années, Emy is tombée enceinte. A greatness that combines all joys. Malheureusement, à peine quelques mois plus tard, elle comprend qu’elle ne contra jamais son bébé. Alors qu’elle se sentait déjà maman, elle est victime d’une fausse couche. Aujourd’hui, the young woman revient pour nous sur ce moment particularly pénible et sur les traumatismes que cela a engendré.

Tout begin aux toilettes, où elle découvre “a color qu'[ellel] n’a pas du tout envie de voir sur le papier toilette: du rouge”. Pinch of panic, the phone is connected to the urges. “In this place, I am surrounded by a doctor who is faced with the problem when it comes to the problem. The word is the same as the changer: “décollement'”, raconte-t-elle.

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“On me this is how my baby dies, this is my mother’s body”

Un décollement du placenta, the doctor lui assures that cela “arrive regulation” et qu’il n’y a “rien d’extraordinaire”. “Il nous explique qu’il n’y a rien à faire, que ça ne sert à rien de rester alitée ou de s’arrêter de vivre et qu’il faut continuer à faire ce qu’on a prevu de faire”, se souvient-elle. Emy and his son companion decided to take part in a bad job in vacances, as the availability was coming. “On nous a dit qu’il n’y avait pas de contre-indication”.

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One fois dans la car, elle commence à “Avoir très mal aux reins”. “Trois heures plus tard, je vois du sang rouge, celui qu’on ne veut pas voir, celui dont on me parle toujours en disant: ‘Tant que ce n’est pas rouge, ce n’est pas grave'”, explique-t-elle, precise être immédiatement retourner aux urgences. “On met dans une sorte de cagibi où l’on me fait une échographie en deux secondes. On me fait culpabiliser à propos du voyage que j’ai fait en voiture et que je n’aurais visiblement pas dû faire. On me dit que j’ai de la chance si mon baby tient le coup”déplore-t-elle. “Moi, si j’ai pris la voiture, c’est parce que j’ai fait ce qu’on m’a dit de faire. Mais là, on me fait comprendre que ce j’ai fait n’était pas bien et “You know my baby is like me, I’m here for you.”

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Passer de maman “à plus rien du tout”

A pinch of immense color, Emy ne parvient “plus a breather”. “C’est terrible, this moment, parce qu’on nous announcement qu’on va être parents et en même temps, on nous dit: ‘On n’est pas sûr, en fait'”, se remomore-t-elle non sans émotion. At night, she has a hemorrhagic effect and an enormous feeling. “On nous avait dit que j’allais encore avoir des contractions, que j’allais surement avoir mal, on s’est donc dit que c’était peut-être normal”declare-t-elle.

Se disant dans “a variety of deni”elle se souvient n’avoir qu’un souhait en tête: que son bébé live. “Moi, I don’t have access to the sound like it’s on 9 months, but it’s not enough, so I’m available in my bras. It’s not enough…” , confie-t-elle. The young woman finally ends up being a baby. A foot that reaches the bottom in a deep depression. “It’s hyper violent for me. Je passe de maman à plus rien du tout. Il n’y a pas de termes pour une personne qui a perdu son bébé”.

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Fausse couche: le deuil impossible?

After this douloureuse épreuve est venue la period du deuil. Mais comment faire le deuil d’une personne qu’on a jamais rencontrée, se demande alors Emy. “On ne le fait pas de manière classique”affirme-t-elle. “Lorsqu’on fait le deuil d’une personne que l’on connaît, on les souvenirs de sa voix, de son visage, des moments passés avec elle, de son odeur… Là, c’est un ‘luxe’ qu’ on n’a pas. J’avais besoin de le voir. You coup, je fermais les yeux, je l’imaginais et je le voyais. Il a un prénom. Ça m’a aidé”, indique-t-elle.

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Ce qui a également rebooster the young woman, this is the retomber enceinte. “Attention”previent-elle, “c’est important de ne pass se dire qu’on remplace un bébé par un autre ou qu’on passe de l’un à l’autre. Ce n’est pas vrai du tout. J’ai eu deux grossesses et deux bébés. J’ai eu la chance de n’en rencontrer qu’un mais ça ne veut pas dire pour autant que le premier n’a pas existé et qu’il n’a pas d’importance dans mon quotidien”, estime-t-elle.

A terrible manque d’accompagnement

D’après Emy, s’il ya suffisamment de prevention au sujet des fausses couches, il faut davantage “parler de l’après”. What kind of accompagner les people who are sont victims? “Moi, I have the luxury and the chance to own my patron and have a work of art. Cela m’a permis d’être chez moi pendant une semaine. Mais si j’avais un boulot plus classique, de bureau, ça aurait été plus compliqué. On ne m’a pas proposé de m’arrêter, on ne m’a pas proposé d’accompagnement psychologique. Je trouve ça terrible!” s’agace la young maman.

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D’autant plus qu’à ses yeux, de names femmes ont vécu des fausses couches “encore pires que la [sienne]”. “Et on leur dit de retourner au travail le lendemain, mais c’est d’une violence sans nom”, regrette-t-elle. Ce qu’il faudrait, selon elle, c’est accompagner l’esprit, “Ou au moins le corps” of victims. “On this occasion, it is not normal!” conclut-elle with véhémence.

Chef de rubrique Société / Psychology / Couple /

Droits des femmes et des enfants, violences, féminismes, genres, discriminations, parentalité, éducation, psychology, santé, sexualité…. Joséphine adore decrypting all the subjects of society that animate our world outside. Elle vous…

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