L’enquête sur la disparition de Delphine Jubillar suit son cours. Ce samedi May 6th, La Dépêche du Midi a published un témoignage trouble d’un voisin qui vient hemer le trouble dans cette affaire. On vous explicit.
Depuis cette fameuse nuit du 15 au 16 december 2020, Delphine Jubillar n’a plus donné de nouvelles. La disparition de cette infirmière de 33 ans reste encore aujourd’hui un mystère et les enquêteurs continuent leur travail. Cédric Jubillar, son mari est encore the principal suspect in his cette affaire de disparitionil a été mis en examen depuis juin 2021. L’homme continue encore aujourd’hui de nier les faits malgré son incarcération en maison d’arrêt. Il ya little, a nouvelle demande de remise en liberté vient d’ailleurs d’être refusée par la chambre d’instruction de la cour d’appel de Toulouse.
Ce samedi 6 may, un nouveau rebondissement vient secouer l’affaire, La Dépeche du Midi vient de publisher un témoignage assez troublant. U.N voisin du couple, Micheldont la maison était la plus proche de celle de Delphine et Cédric a pris la parole : «Les chiens n’aboyaient jamais. Il se peut que ce ne soient pas eux que les voisines aient entendus cette nuit-là. Moi, je ne les ai jamais entendus aboyer.» A detail qui ne passe pas inaperçu et qui a semé le doute dans l’affaire.
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Un témoignage en contradiction avec celui de la mère et de sa fille
Le témoignage de ce nouveau voisin est à prendre en consideration, car il apporte une nouvelle donnée à l’enquete. Cette fameuse nuit du 15 au 16 December, deux voisines, une mère et sa filleont declared avoir entendu «un cri d’effroi… un cri de peur intense » ainsi que des bruits de chiens qui se battaient. Elles ont également ajouté que cela s’était dans la nuit un little après 23 h et que les cris auraient duré between 5 and 10 minutes.
pourant Michel, le voisin du couple, indique lui que les chiens de Delphine et Cédric, deux shar-peis, n’aboyaient jamais. Il a également raconté que cette nuit-là, il a sorti son propre chien entre 23 h et minuit et qu’il avait «of the lumière in the cuisine of the Jubilar“et qu’il avait”entendu les chiens verse 22 heures». Un point que l’une des avocates de Cédric Jubillar, Maître Emmanuelle Franck, a souhaité relever : «Si l’on suit cette hypothèse, cela signifie que Cédric Jubillar prend le risque d’être aperçu par son voisin dont il sait qu’il a lui-même l’habitude de sortir son chien dès 23 heures ». A new piece of information that will be given to you in the compte dans le procès de Cédric Jubillar.