Mauvaise nouvelle for the National Education. Selon de récentes statistiques, les élèves de CM2 font deux fois plus de fautes que leurs parents au même âge sur la même dictée.
La sonnet d’alarme est tiree. Ce mardi 6 decembre, des statistiques du ministère de l’Education ont prouvé que le level d’orthographe des élèves de CM2 ne cesse de baisser. En effet, ces derniers font deux fois plus de fautes que leurs parents au meme age.
Selon le ministère, 7 000 élèves ont fait une dictée “Sans difficultes particulières” l’année derniere. Sur un peu moins de 70 mots, ces élèves avaient fait une moyenne de vingt fautes. En 1987, sur cette meme dictée, leurs parents en faisaient deux fois moins, toujours selon l’étude dévoilée ce mardi. Il se trouve que leurs grands frères et soeurs nés dans les années 2000 ont également fait mieux.
Sources fautes sont les plus courantes ?
L’orthographe grammaticale fait part des principales difficultés rencontrees par les eleves. Par example, les élèves between 10 and 11 ans sont incapables d’accorder le verbe et le sujet et moins d’un élève sur dix écrit correctement “demandaient” in the phrase: “Papa et Maman se demandaient”. Les adverbes posent également problème. Les mots “aussitot” ou encore “peut-être” department souvent parmi les fautes des élèves de CM2. Another faute est elle also passed from 46.2% de réussite in 1987 to 25.3% in 2021: celle de l’accord de l’adjectif “inquiets”.
La suite après cette publicité
A ce sujet, une professor de CM2 a été interviewée par Franceinfo et n’a malheureusement pas été étonnée par ces statistiques. Selon elle, les eleves sont beaucoup moins concentrates en cours et ont meme tendance à ne pas savoir où mettre des espaces dans les phrases. Another information a pu être transmitted des suites des statistiques: celle que les filles sont un peu plus performantes que les garçons en orthographe. Toujours selon ces résultats, elles ne font que 17 fautes là où les garçons en font 21.
Après le partage de ces résultats, l’éducation national s’inquiète bien que certains professors ne soient ainsi pas étonnés devant de telles statistiques.