quel impact sur ma sexuality ?

Marianne, qui a 50 ans, connaît les premier signs de la menopause et s’inquiète quant à sa sexualité. Desire et plaisir sexuels seront-ils toujours au rendez-vous dans quelques semaines, quelques mois ? Notre experte et journaliste sexo Caroline Michel se fait un plaisir de lui répondre.

Avant de répondre à la question de Marianne, j’aimerais rappeler que le terme « menopause » signifie « arrêt
des menstruation », et que l’on considère une femme comme ménopausée lorsqu’elle n’a plus ses regles
depuis un on
. Ainsi, on parle de menopause retrospectivement.
Evidence, cet arrêt définitif ne survient pas du jour au lendemain, et quelques indices nous mettent la puce à l’oreille, à commencer par l’irregularity of the cycle, preuve que dans le corps, le taux de progesterone commence à diminuer. Ce phenomenon entraîne également de la fatigue et, parfois, de la tristesse. Puis c’est au tour des œstrogenes, other female hormones par excellence, de mettre les voiles. la faible quantité d’œstrogenes endre des modifications corporelles (peau plus fragile, stock de graisse plus important…).

La seceresse vaginale, une realité physiologique

Ce n’est Pas Tout: La Carence Oestrogénique est Responsable de Sécheresse vaginale, symptôme qui concerse une femme sur deux en période de ménopause. Et là, on en vient à notre sujet et à la problématique de Marianne: à partir du moment où le vagin et la volve sont naturellement moins humides, la lubrification, qui survient durant le rapport sexuel et sous le coup de l’encitation, se veut plus capricieuse, ce qui peut causer des douleurs durant les rapports sexuels. C’est Face à cette réalité physiologique que de nombreuses femmes agréhendent la sexualité en ménopause: à force d’Entendre que la sécheresse vaginale, à cette période de la vie, est souvent de la partie, elles craignent de ne plus s’épanouir. La bonne nouvelle, que je partage des maintenant, c’est qu’il existe des traitements oraux ou locaux pour contourner le souci. donc ? Don’t hesitate to discuss with a professional de santé pour trouver la solution adaptée.

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Is the negative representation of the menopause in notre a society full of desire?

Mais ce qui m’importe d’exposer ici, ce sont les résultats d’une étude published in 2013 in The journal of
sexual medicine*. Une étude qui nous cause appréhension, justement : les chercheurs ont constaté que les
femmes menopausées pouvaient rencontrer certains blockages au lit à cause d’une anticipation negative. En
other motifs elles sont persuadées que la menopause va perturber leur activité sexual et elle se
detournent du sexe. La faute à la representation negative de la menopause dans notre society, et à all
« on-dit » qui circulent : on dit que la menopause rend de mauvaise humeur, on dit que c’est épuisant, on dit
que l’envie de faire l’amour s’éteint quand on vieillit, que le vagin se ramollit… On dit tellement que l’on finit
par s’y attendre, et parfois meme le vivre. C’est ce que l’on appeal une prophetie autoréalisatrice: si je suis
convaincue de quelque chose, je m’arrange pour avoir raison, ou du moins en avoir l’impression.

Le desire sexuel ne dependent pas seulement des hormones

Cette meme étude nous rappelle également (pour notre plus grande joie) que « les modifications biologiques
et hormonales qui caractérisent la menopause n’affectent pas negativement la vie sexual des femmes d’âge
We are about to begin the menopause »
. Rasurant, non ? Car oui, le désir sexuel ne dépend pas seulement
des hormones : bien sûr, il les aime, mais bien d’other facts entrent en ligne de compte, tels que le rapport
au corps, le ton de la relation amoureuse, le regard que l’on porte à la menopause et… l’apréhension que l’on
in a. CQFD, donc.
Je conclurais ainsi trois choses : 1/ on consulte un medecin, gênes menopausiques ou pas, pour se sentir
encadrée et suivie, 2/ on se met dans la tête que notre menopause sera unique et que le discours de la society
à son sujet crée chez nous des angoisses qui n’ont pas lieu d’être, 3/ on n’oublie pas que si le corps change, le
Sexe est toujours possible (alors faisons «comme avant»), et si jamais ça coince, ça brûle, ça pique, ça ne veut pas, ça ne prend pas, on essaie de voir la ménopause comme une période de renouveau et l’Occasion de se réinventer sexualment, le all accompagnée par des progresses en ressent le besoin (et la boucle est
bouclée).

Caroline Michel est journalist en psycho sexo et auteors notary de 89 mois, sex mille personnes (Recueil de micro-nouvelles illustrées), La Charge Sexuelle (first), l’amour des Grands (Robert Laffont).

Journalists psycho et sexo

Caroline Michel is a journalist in psycho sex and authorship. Passionnée, elle se plaît à décortiquer le quotidien et à chercher les bons mots (qu’elle espère trouver souvent). Elle est auteur de …

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