Sophie Tapie a accordé une interview à Gala, où elle explique que son père, Bernard Tapie, va très mal, et où elle parle de sa nouvelle chanson lui rendant hommage.
L’état de santé de Bernard Tapie est critique. Il est “très malade, très affaibli”, a confié sa fille, Sophie, dans une interview accordée au magazine Gala jeudi 2 septembre. L’ex-président de l’Olympique de Marseille continue de se battre férocement contre ce double cancer de l’estomac et de l’œsophage, qui le ronge depuis quatre ans maintenant. Il enchaîne les chimiothérapies et les traitements expérimentaux, mais ne gagne pour l’instant pas le combat against la maladie. Malgré les échecs, il n’a pas l’intention de renoncer. Sophie Tapie rend d’ailleurs hommage à sa force de vivre dans sa dernière chanson, intitulée Le Phœnix. “C’est pour mon Phoenix, pour lui thunder le courage et la force de continuer à se battre (…). Je parle de lui au travers de mes yeux à moi”, at-elle écrit sur Instagram, le 25 août, jour où elle a posté le clip officiel de son single. “Je suis là pour lui tous les jours, essayant de l’aider à traverser cette période extrêmement difficile”, at-elle also expliqué à Gala.
Sophie Tapie fait un clin d’œil aux détracteurs de son père
Quand elle a écrit Le Phoenix, Sophie Tapie n’a pas seulement pensé à la maladie de son père, mais a tous les combats qu’il a dû mener au cours de sa vie. Dans les paroles, elle lance une pique à ceux qui ont tenté de lui nuire. “C’est dur d’aller toucher le ciel, quand on décolle d’aussi bas. L’histoire était un peu trop belle… Ça les gens n’aiment pas”, chante-t-elle notamment.
Bernard Tapie ne lâche rien
En juin dernier, Bernard Tapie avait lui-même donné de ses nouvelles, alors qu’il venait de commencer un nouveau protocole expérimental particulièrement éreintant. “Je suis cassé complet. (…) J’ai l’air d’avoir 100 ans… Ce protocole, c’est un program très lourd”, avait-il alors expliqué auprès de Paris Match. Sans pour autant lâcher l’affaire: “On me donnait deux ans, ça va faire quatre ans en septembre, alors faut pas charrier!”