“To the cause of the pain, we organize our planning and the function of my cycles”

La journée mondiale contre l’endometriosis a lieu tous les ans le 28 mars. An occasion for rappeler that the lutte against this maladie est (très) loin d’être terminée. Parmi cells qui en ont fait leur combat, la chanteuse Loriewhich is the same name, has a sort of book according to the subject, the 21st mars dernier, intitulé La douleur? Source douleur?, published by Robert Laffont. Aujourd’hui, elle revient pour nous sur son parcours, souvent difficile. Between these two patients, the medical qualification and the diagnosis of endometriosis, but also the congélation of the ovocytes, the PMA, the birth of the child and the ablation of the uterus, the book is ready to be read.

“Mes premiers symptômes, c’était les douleurs pendant les cycles, puis les douleurs pendant les rapports et, enfin, les douleurs au quotidien”se souvient l’artiste de 41 ans. “You’ll have to wait a few days before the regulations, but you’ll also have a week before and a week after”révèle-t-elle, precise avoir été obligée d’“organizer [son] planning en fonction de [ses] cycles“. À ce moment-là, the young woman n’a jamais entendu parler d’endométriose. “Quand je disais que j’avais mal, les médecins ne m’en parlaient pas. C’est seulement quand j’ai fait une grossesse extra-utérine qu’on m’a dit: ‘en fait, tu es atteinte d’ endometriosis”déplore-t-elle.

“Quand on m’a announcement mon diagnostic, j’étais paniquée”

Bien évidemment, c’est la première fois que Lorie entend ce mot. “J’ai dit : ‘quoi ? endo quoi?’”, s’amuse-t-elle aujourd’hui. The reaction is also mitigée. If you are looking for a diagnosis, it is also rapid in proie au stress face à une pathologie dont elle connaît rien. “D’un côté, j’étais soulagée parce que I am suis dis que mon corps et mon instinct avaient raisonqu’il y avait bien quelque chose qui n’allait pas”assure-t-elle.

Mais d’un autre côté, the chanteuse is sent très inquiète, voire totalement “panique”admet-elle. “Je me suis dit: ‘Mais attends, c’est quoi this maladie? On a jamais entendu parler et ça à l’air grave quand meme : elle ne se soigne pas, elle peut causer des problèmes pour avoir des enfants…'”se remémore-t-elle. “J’étais complètement perdue, je ne savais pas qui aller voir, quoi faire… Je ne savais pas s’il existenceait des centers spécialisés, des médecins spécialisés…”

“The PMA, this is a suite logique”

Today, Lorie decides to leave her family. This is the debut of a long course. “Quand tu as de l’endométriose, on te donne une pilule en continue pour stopper les règles, parce que ce sont les règles qui créent les douleurs”relate-t-elle. “On the coupe les cycles, mais pour avoir un enfant, il faut des cycles”. Sous les conseils de son médecin, l’interprète de My best friends stop sa contraception et essaie de tomber enceinte naturellement. “It’s not working”regrette-t-elle.

Elle se lance donc une PMA. Because of endometriosis, “It’s a logical suite”dit-elle. “Il a fallu que je me retape les piqûres, etc. Je dis retaper parce que, quelques temps avant, j’étais aller faire congeler mes ovocytes en Espagne car à l’époque, on ne pouvait pas en France”, confie-t-elle. The legalization of the congélation of ovocytes is also possible “en [ses] combat”assume-t-elle. “You have the President, you have the Minister of Santé, and I have a small gift!”. The PMA de la chanteuse, aujourd’hui mother d’one little girl of 3 years, named Nina, a fonctionné. “Franchement, on a été assezz chanceux, ça a marché rapidement”.

“Je ne pouvais pas être avec ma fille”

Malheureusement, après son accouchement, les douleurs de Lorie sont non seulement revenues, mais elles étaient pires qu’avant. This is his companion who ends up with him: “Ouvre les yeux, à un moment donné, il va falloir prendre une decision parce que tu as maltout le temps, tu es épuisée, tu ne peux plus rien faire…”se rappelle-t-elle. “Ce qui me frustrait le plus, c’était que je ne pouvais pas être pleinement avec ma fille”. Elle subit, quelque temps plus tard, une hysterectomyso it is a definitive ablation of the uterus.

“It’s not a clear choice, but it’s available to other children with my companion and it’s on the other side of the child.”, admet-elle. Avec le recul, the chanteuse aurait préféré qu’on lui dise à l’époque: “C’est comme ça, il faut l’enlever, vous n’avez pas le choix”. “Entre ‘je peux avoir des enfants’ et ‘je veux avoir des enfants’, psychologiquement, ce n’est pas pareil”ajoute-t-elle.

“If you have advanced, you will continue”

Selon the artist, “il ya des avancées” au sujet de l’endométriose dans la société. “Le chapitre consvré à la maladie dans le livre de médecine, ça fait 3 ou 4 ans qu’il y est. Il ya also le fait qu’on en parle davantage. Beaucoup de centers spécialisés dans l’endométriose s’ouvrent aussi. Et puis le test salivaire pointe le bout de son nez. J’espère que ça va arriver vite et qu’on va pouvoir diagnostiquer des femmes plus rapidement. Il faut continuer!”s’exclame-t-elle.

Malgré tout, il reste, à ses yeux, des choses à faire, notamment informer dès le plus jeune âge. The faudrait notamment intervenir régulièrement dans all les colleges. “The girls are from college. I have souvenirs of copines that I have two children and I don’t want to play sports.affirms Lorie. “J’aimerais also que certains médecins se remettent en question, qu’ils arrêtent de voir l’endométriosis seulement comme ‘une maladie à la mode’. Pour être à la mode, on ne choisit pas d’être malade”conlut-t-elle.

Cheffe de rubrique

Droits des femmes et des enfants, violences, féminismes, genres, discriminations, parentalité, éducation, psychology, santé, couple, sexualité, réseaux social…. Joséphine adore decrypting all the subjects of society that animate our world…