Stop at the social pressure of the little dernier!

“C’est pour quand le petit dernier ? » Au fil du temps, cette question est devenue une veritable connection pour les mères. Comme s’il était inconcevable de ne pas vouloir d’autre enfant. Corn, qui a décrété cela ? Éclairage avec Véronica Olivieri-Daniel, psychologue clinicienne.

En famille, between friends, au travail… On est toutes confrontées aux injonctions de la maternity. Au depart, on nous demande « alors, c’est pour quand le bébé ? ». Puis, à peine quelques mois après l’accouchement, on nous harcèle à coups de “c’est pour quand le petit frère ou la petite soeur ? », « vous n’allez quand me me pas en faire un enfant unique ? » Et pourquoi pas? La pression sociale que subissent les femmes pour faire un dernier enfant n’a pas lieu d’être. Loin de faire rêver tout le monde, l’image de la famille nombreuse peut, au contraire, en rebuter plus d’une. Car, contrairement à ce que bon nombre de personnes pensent, on peut être parfaitement heureuse avec un ou deux enfants.

C’est le cas de Laura, 35 years, infirmiere : « j’ai grandi au sein d’une famille nombreuse et meme si je n’ai manqué de rien, tout me semblait plus compliqué. La management du quotidien, les départs en vacances, supporter les humeurs des us et des autres, les problems d’argent…Je me suis dit que je ne voulais surtout pas reproduire ça. Je prefer avoir un seul enfant et en profiter à fond, lui offer une belle vie, plutôt que d’en avoir plusieurs et être obligée de me départager. Je ne m’en sens pas capable. Le hic, c’est que personne dans mon entourage ne veut l’entendre. Or, nous sommes très fusionnels, mon mari, notre fille et moi, et nous n’avons aucune envie de bouleverser cet équilibre ! », explique-t-elle. Mais d’où vient cette pression sociale du petit dernier ?

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L’enfant unique est perçu comme un échec

Dans l’imaginaire collectif, le fait d’avoir un seul enfant est forced synonyme de problem. L’enfant unique renvoie une image d’échec, qui peut être lié à une infertilité, à un divorce, ou à un âge trop advance. « Lorsque l’on fait le choix de n’avoir qu’un seul enfant, c’est comme si quelque chose nous empêchait d’y parvenir. Cette perception erronée de la réalité intervient dans une société où l’on a une image assez idéalisée de la famille, qui doit être constituée d’un père et d’une mère qui réussissent professionnellement et qui font au moins deux enfants de sexe différent, three representant la perfection absolute. In a family ideal, on a renonce à rien: ni au fait de réussir professionnellement et de gagner de l’argent, ni au fait d’avoir beaucoup d’enfants »explicitly Véronica Olivieri-Daniel.

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Écouter son désir profond

Subir cette pression sociale quand on a déjà deux enfants et qu’on n’arrête pas de nous demander « alors, c’est pour quand le petit troisième ? » to finish par general of the questions and susciter une envie. Il est alors necessaire de se poser les bonnes questions : est-ce qu’on veut cet enfant parce qu’il va venir combler quelque chose qui nous manque ou est-ce qu’on le désire profondément et qu’il aura sa place dans la family?

« Par example, le fait de vouloir un garçon parce qu’on a deux filles ne relève pas d’un instinct profond d’avoir und dernier enfant mais de la volonté de combler un manque. Si on cède à l’injonction sociale de faire un dernier enfant, il n’y a plus qu’à espérer investir l’enfant une fois qu’il sera là, de la même façon qu’on l’investirait s’il était completely desired. Il faut espérer que la rencontre avec l’enfant répare cette absence de désir initial. Si ce n’est pas le cas, ce sera compliqué et dommageable pour l’enfant. Maize, très souvent, la rencontre efface les doutes », developed la psychologue clinicienne. Autrement dit, mieux vaut ne pas faire de petit dernier plutôt que de le regretter ensuite !

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Comment répondre aux questions déplacées ?

À la question de savoir comment répondre avec diplomatie à quelqu’un qui nous demande “Alors, c’est pour quand le petit dernier ? », il est bon de garder à l’esprit que l’on n’a de comptes à rendre à personne sur notre intimité. Rien ne nous oblige a répondre. Et si on le fait, on peut se contenter de dire que l’on ne souhaite pas avoir d’autre enfant avant de changer de sujet. Le piège serait de chercher à argumenter. A simple phrase, claire et concise telle que “pour jamais, je n’en veux pas d’autre” or “quand les poules auront des dents” fera parfaitement l’affaire. In a version plus soft, on the simplest rester évasive avec un ” je ne sais pas “. In parallel, it is interesting to see if you have a different subject: is it possible that you are fond of it? À mediter.

Julie Giorgetta

Journaliste specialisée dans la santé et le bien-être (thématiques santé, nutrition, grossesse/bébé, psycho et sexo), Julie Giorgetta est diploma from La Sorbonne et from l’Ecole Supérieure de Journalisme de Paris. Then…

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