Selon une étude brésilienne, on pourrait reconnaître les chiens les plus documents à certaines caractéristiques morphologiques.
Choisir un chien n’est pas une decision à prendre à la légère. Il faut tenir compte de ses besoins en matière d’espace, de stimulation, de soins. On ne peut donc pass se contenter de choisir celui que l’on trouve le plus mignon. Le caractère a also une great importance. Pour un animal de compagnie, la plupart des genes chercheront un animal docile. Mais comment le savoir à l’avance ?
Certaines races ont mauvaise reputation, mais cela est souvent du à leur physique impressivenant, ou à des aptitudes qui en font de parfaits chiens de garde. All animals need to be dressed to wear ou devenir aggressive sous le coup de mauvais traitements. Mais selon une étude brésilienne relayée par The Daily Mail, il serait possible de relier le tempérament aggressive d’un chien à des éléments morphologiques. Les chercheurs ont pour cela interrogé les propriétaires de plusieurs centaines de chiens.
La suite après cette publicité
Bon gros chien
Les résultats contredisent l’idee reçue qu’un gros chien serait plus aggressive. Ce sont au contraire les races de petites tailles qui affixent la plus great aggressiveness. Plus précisément, ce sont les petits chiens dotés d’un crâne brachycéphale, c’est-à-dire aplati, comme les bouledogues, carlins, cavaliers king Charles or shih tzu. “L’agressivité envers le propriétaire était 79% plus probable” que chez les chiens mesocéphales. Ces derniers ont des crânes d’une longueur intermédiaire. On y trouve the majorité des races, like le berger allemand, le saint-bernard or le golden retriever.
Il ne faut pendant pas confondre aggressiveité et dangerosité. Par ailleurs, un chien mal dressé ou se sentant menacé peut attaquer, quelle que soit sa race. Le rhodesian ridgeback, élevé pour la chasse au lion, ou l’énorme patou des Pyrénées, qui protège les troupeaux contre les loups sont, par example, mésocéphales et souvent presentés comme très dociles. Mais leur morsure risque de faire plus de dégâts que celle d’un pékinois. Les chercheurs rappellent également qu’une correlation ne signifie pas qu’il y ait un lien de cause à effet. Il se pourrait par example que les propriétaires de certains types de chiens s’en occupent différemment. La façon dont ils sont perçus et traités par les humains pourrait tout autant entrer en compte.